30/05/2010

Free Bruxsel veut que Bruxelles ait son mot à dire lors de la prochaine réforme de l'Etat


Quelque 200 manifestants se sont rassemblés dimanche à la Bourse à Bruxelles pour défendre un projet fort en faveur de Bruxelles lors de la prochaine réforme de l'Etat. "Bruxelles n'est pas à acheter", a déclaré Maurice Seewald, de Free Bruxsel.

"Bruxelles constitue un tournant décisif important, mais nous avons des craintes la concernant. Lors des précédentes réformes de l'Etat, les choses étaient toujours traitées derrière le dos des Bruxellois et cela doit changer", a estimé Maurice Seewald. L'initiative citoyenne "Free Bruxsel" veut que Bruxelles soit reconnue comme une région à part entière avec ses propres droits et obligations comme la Flandre et la Wallonie. "Nous sommes actuellement bloqués par deux régions voisines qui ont tout fait de manière si compliquée. Nous voulons que Bruxelles bénéficie de plus de participation en ce qui concerne l'enseignement, le travail et la mobilité", a poursuivi Maurice Seewald.

Une délégation du parti politique Pro Bruxsel était également présente.

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