14/07/2010

La Communauté française est devenue une machine de guerre


" La Communauté française a eu une utilité tant que la Région bruxelloise n'existait pas. Aujourd'hui, elle est devenue une machine de guerre contre les Flamands, et un facteur de déstabilisation de la Belgique.

Comment voulez-vous que les Flamands respectent Bruxelles, si on leur dit en même temps qu'on construit une fédération Wallonie-Bruxelles contre eux ? Pour que la Belgique retrouve un équilibre, il faut cesser ce jeu d'alliances entre la Wallonie et Bruxelles. Et répéter ceci : la Région bruxelloise, elle n'est pas francophone, elle est bruxelloise !

L'enseignement doit être régionalisé. Cela permettrait aux écoles bruxelloises de mieux prendre en compte les spécificités liées à l'immigration, et cela aiderait leurs élèves à devenir bilingues (...) "

Qui dit tout cela ? et bien plus encore ? Philippe Destatte, directeur de l'Institut Jules Destrée.

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De Franse Gemeenschap is een oorlogsmachine

"De Franse Gemeenschap had een nut zolang het Brussels Gewest niet bestond. Vandaag is het een oorlogsmachine tegen de Vlamingen geworden, en een destabiliseringsfactor van België.

Hoe wilt u dat de Vlamingen Brussel respecteren, als men hen tezelfdertijd zegt dat men een federatie Wallonië-Brussel uitbouwt tegen hen? Opdat België een evenwicht terugvindt moet men dit alliantiespel tussen Wallonië en Brussel stoppen. En het volgende herhalen: het Brussels Gewest is niet Franstalig, het is Brussels!

Het onderwijs moet geregionaliseerd worden. Dat zal het de Brusselse scholen mogelijk maken beter rekening te houden met de specifieke thema's die verband houden met de immigratie, en het zou hun leerlingen helpen tweetalig te worden (...)"

Wie zegt dat ? en nog veel meer ? Philippe Destatte, algemeen directeur van het Instituut Jules Destrée

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09/07/2010

Et ça continue...

En route vers les sous-nationalités à Bruxelles ?

Pour clarifier le financement des hôpitaux bruxellois par les deux Communautés, le vice-président des médecins flamands suggère que chaque établissement subsidié choisisse sa langue. Et que chaque Bruxellois choisisse de se faire soigner par la Communauté française ou par la Communauté flamande. Pareil pour les allochtones. Et rien à propos des autres Belges qui viennent se faire soigner dans les hôpitaux bruxellois..

Plutôt que la langue, les critères de choix des patients ne devraient-ils pas être plutôt la qualité des soins prodigués pour chaque affection ? Dans tous les hôpitaux bruxellois, un effort réel est fait afin d’aider les patients dans la langue qu’ils souhaitent, avec l'aide d'un interprète si nécessaire.

La mainmise des deux Communautés sur la population bruxelloise ne peut en aucun cas se renforcer à l'occasion de nouvelles répartitions de compétences.

Bruxelles doit refuser tout apartheid pour ses citoyens.

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